Ringo et ses complices étaient parfaitement préparés pour aller cambrioler une zone d’activité située à Oucques dans le Loir-et-Cher. Après avoir dérobé du cuivre, ils avaient bien pris soin d’effacer leurs empreintes digitales. Mais Ringo a commis une petite erreur qui lui a valu d’être confondu pour ce délit.
Une fois sur les lieux, la police scientifique a retrouvé du papier toilette usagé. L’analyse a pu déterminer qu’il s’agissait de l’ADN de Ringo. L’homme a expliqué qu’il avait en fait eu un besoin pressant alors qu’il passait par là avec sa famille.
Une explication qui n’a pas convaincu le tribunal correctionnel de Blois puisqu’il a été condamné à huit mois de prison ferme.
Source: La Nouvelle République