Ladj Ly dont le film « Les Misérables » est récemment sorti en salle bénéficie d’une promotion incroyable dans toute la presse de gauche: Konbini, France Inter, L’Obs, Télérama, le Huffington Post… Il faut dire que le scénario a tout pour plaire à la frange bien-pensante de la population: des policiers de la BAC qui harcèlent de tranquilles jeunes de banlieue. Le film a même reçu la Palme d’Or à Cannes qui récompense depuis quelques années l’idéologie progressiste des œuvres plutôt que leur qualité.
Or, Ladj Ly a un passé sombre qui n’a bizarrement jamais été dévoilé par les titres bien-pensants.
Il a fallu attendre un article de Causeur pour que l’on apprenne que Ladj Ly a été condamné en 2011 en appel à deux ans de prison ferme avec maintien en détention assorti d’un sursis de d’un an pour complicité d’enlèvement et séquestrations.
Ces faits extrêmement graves ont été motivés par une volonté d’appliquer la Charia. Il s’agissait en effet d’aider son ami Amad Ly, un éducateur décoré par le Prix de l’éthique pour son travail de médiation pendant les émeutes de 2005, à venger le petit-ami de sa soeur avec qui elle aurait eu des relations sexuelles hors mariage.
Pas surprenant pour celui qui déclarait dans une interview pour le blog du cinéma à propos de Zineb El Rhazoui, rescapée de l’attentat de Charlie Hebdo et connue pour son engagement contre l’intégrisme islamiste:
Quand on voit l’autre c****… J’ai presque envie de l’insulter! L’autre c******* de Zineb qui incite les policiers à tirer sur la ‘racaille de cité’. Va te faire en*****!
ou à propos d’Eric Zemmour:
Je vais même pas citer le nom de l’autre, là, ce fils de p***
Un poète à qui l’on souhaite le même destin que Mehdi Meklat, ce chouchou de la presse gauchiste qui criait son admiration pour le terroriste Mohamed Merah sur Twitter.
Sources: Le Parisien, AFP, Causeur