L’affaire ne plaît pas du tout au syndicat local pénitentiaire Force Ouvrière de la maison d’arrêt de Grasse.
Depuis le début de la semaine, cinq détenus dont quatre délinquants sexuels emballent des sex-toys pour la société Easy Love.
Hervé Ségaud, syndicat au sein de la maison d’arrêt, est choqué:
Confier ce type de travail à des personnes détenues est assez surprenant, mais ce qui choque particulièrement les personnels aujourd’hui, c’est que les détenus qui sont affectés sur cet atelier sont essentiellement des prévenus ou condamnés dans le cadre d’affaires de mœurs.
et ajoute:
Vous imaginez les victimes de ces hommes si elles apprennent à quoi on les occupe!
Source: Nice-Matin
