Une lettre parue dans Libération pour s’indigner contre les violences policières suite à « l’affaire Théo » avait été signée par des dizaines de personnalités du show-biz qui connaissent probablement de très près la vie dans les quartiers et le travail des forces de l’ordre au sein de ceux-ci.
Elle a été rédigée par Steevy Gustave, ex-maire adjoint de Brétigny-sur-Orge (Essonne), qui est également un ancien membre de la ministre de la justice Christiane Taubira.
Sur son profil LinkedIn, il se dit « chargé de mission » auprès de la ministre de la justice.
Un poste qui ne semble pas vraiment en adéquation avec la rédaction d’un tel texte qui accuse la police française d’être infiltrée par des réseaux nationalistes pour qu’ils puissent agir en toute liberté:
Nous demandons une vigilance accrue lors des recrutements car les policiers racistes qui posent problème ne sont pas devenus racistes par la dureté de la mission. Il semblerait que le plus souvent, ce soit de jeunes militants issus d’un parti politique bien connu qui se sont engagés pour pouvoir commettre leurs exactions en toute impunité.