Vendredi 13 novembre à Paris, en pleine panique des attentats, tous les services de police sont mobilisés.
Pourtant, fin août, un policier est sommé de s’expliquer sur un excès de vitesse ce soir-là alors qu’il était en intervention.
Cette demande s’explique par une volonté de la préfecture de police de Paris de mettre fin à la hausse des infractions routières commises par des fonctionnaires de police.
Philippe Capon, le secrétaire général Unsa-Police déplore cette politique:
On va intervenir en Vélib’ ou en métro, si ça continue
Cependant, le policier ne devrait pas à avoir à régler la contravention mais il devra se justifier.